Il se passe des trucs bien chauds dans les caves de la cité. Gilles, Constantin et Matthieu, trois petites caillera du quartier, squattent dans le local à poubelles avec des idées cochonnes plein le calbute. Ils se caressent et se roulent des pelles à pleine bouche en se dépoilant. Gilles est le plus saute-au-paf du lot et s’empresse de gober le gros dard de Matthieu qui bande déjà comme un âne. Les deux autres ne tardent pas à l’imiter et chacun suce et caresse les deux autres. C’est encore Gilles le plus chaud et le premier à offrir son cul à Matt pendant qu’il suce Constantin. Une fois bien ramoné, il échange sa place avec Matthieu qui rêve lui aussi d’une bonne carotte de chair dans le fion. Gilles l’embroche pendant qu’il suce Constantin, il l’enfile jusqu’aux couilles et Matthieu braille son bonheur et sa joie de recevoir sur le ventre le plaisir brûlant de Gilles qui lui gicle dessus. En voilà trois qui ont trouvé mieux que d’aller voler des sacs à main dans la rue !
Quelques jeunes citadins en balade normande viennent prendre l’apéro chez l’habitant, car ils aiment élargir le cercle de leurs relations. Le cidre et le calva font vite leur petit effet car nos amis délaissent rapidement les cacahuètes pour des amuse-gueules de plus grande taille. 3 d’un côté du salon, 2 de l’autre, les cinq petits cochons se lancent dans une exploration non du bocage normand mais des orifices rectaux des uns et des autres à grand renfort de doigts et de langues, sans oublier de pomper goulûment les gros menhirs (ah non pardon, c’est breton, ça) des copains. Après la sucette vient le plat de résistance et le fracassage de trous, normands pour l’occasion, à coups de bites bien dures enfoncées jusqu’aux couilles. Enchevêtrés par deux, par trois, partout, chacun suce et encule jusqu’à ce que la bonne crème fraîche ou plutôt chaude de Normandie jaillisse à grosses giclées. Les vacances vertes, ça requinque la santé !
Deux minets en rut se roulent des pelles dans une cage d’escalier. L’escalier est raide et bientôt les deux petits cochons le sont aussi, comme on peut le constater en voyant ces deux queues gonflées. Ils se déshabillent peu à peu en commençant à se branler. Chacun son tour, ils se sucent longuement en se doigtant le petit trou puis le premier des deux n’y tient plus et ouvre sa croupe à son petit ami qui lui fourre sa bite turgescente entre les fesses et l’embroche jusqu’aux couilles, debout, assis et couché. Il se retire et vient se pencher au-dessus de lui pour gicler son précieux hydromel sur le torse lisse de son petit copain. Qu’il est bon de s’enculer quand la concierge n’est pas dans l’escalier !
Qu’il est doux de se réveiller dans les draps chauds d’une auberge normande, et plus encore quand on est un mec et qu’on a ce délicieux gourdin matinal qui déforme le caleçon. Samir et Matéo s’éveillent et déjà les deux bandent comme des ânes. Ils ne résistent pas longtemps à l’envie de profiter de cette bandaison matinale. Ils se branlent et se sucent chacun leur tour puis s’installent en 69 pour pouvoir se faire du bien en même temps. Mateo doigte le cul de Samir et le dilate doucement, puis lorsqu’il est prêt le prend en levrette et l’encule bien à fond. Il le retourne ensuite comme une crêpe et continue à le baiser dans toutes les positions. Il prend longuement son plaisir avant de s’allonger sur le ventre et d’offrir à son tour ses fesses à Samir qui le pénètre profondément… il y aura beaucoup de crème normande au petit-déjeuner !
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