Une belle blondinette, la vingtaine est là pour se faire défoncer la chatte par un grand black au chibre démesurément grand et surtout torride. Elle commence par montrer a la caméra qu’elle a une grande chatte prête a accueillir pas mal de monde en insérant trois ou quatre doigts a l’intérieur. Puis le mec arrive et lui broute le minou avant de dégainer son engin de torture. Il a une bite énorme et a la voir comme ça, on pourrait penser qu’elle ne va pas entrer dans sa bouche, mais bien sur que si, car elle un gouffre a bites cette salope de blonde. Et ensuite une fois qu’elle l’a bien sucé elle va se faire défoncer la chatte et le cul comme jamais. Elle est en feu et se fait déchirer les orifices avant de finalement bouffer du foutre en grosse quantité. Elle adore ça en plus la coquine.
Alicia est une belle plante italienne à la chevelure auburn et avec un cul comme seuls les carrossiers italiens savent en faire. Mais Alicia n’est pas une italienne ordinaire ; elle ne se contente pas d’avoir un cul de rêve, elle aime plus encore se le faire défoncer à grands coups de queue. Elle commence par pomper ce gros dard qui se présente sous son nez, l’engloutit jusqu’aux couilles, suce et resuce jusqu’à ce qu’il soit bien dur et gonflé, et là elle offre sa belle croupe déculottée. On voit bien que cette belle salope a une anatomie faite pour la levrette ; à peine le temps de lubrifier la petite étoile rose du bout de la langue et paf ! direct dans le cul. La grosse pine s’enfonce entre les fesses d’Alicia comme dans du beurre. La voilà enculée jusqu’à la garde ; bourrée, défoncée, fracassée et finalement vidangée d’une giclée de foutre bien chaud. La belle italienne vous le prouve : on peut lui rentrer dans le cul sans être en tort et défoncer son anus sans malus !
S’il y avait un concours de la pétasse à bites numéro 1, la jeune fille blonde de cette séquence serait probablement sur le podium. Son regard est un concentré de salopitude pas très subtile mais ô combien lubrique, ce que confirme sa grande bouche de pompeuse. Elle nous montre rapidement le reste : ses petits nichons en liberté sous son pull rose, et sous sa mini-mini jupette, une croupe qui appelle la levrette. La cochonne s’est tellement auto-excitée qu’elle va vite retrouver son copain au salon et lui suce la queue comme si sa vie en dépendait ; après quoi c’est elle qui se fait longuement bouffer chatte et cul, et avec des fesses pareilles ça se comprend. Quand elle dégouline d’envie, son mec l’embroche sur son gros dard dressé et l’empale jusqu’aux couilles. Ensuite, il la retourne comme une crêpe et lui bourrine la chatte dans diverses positions et bien entendu en levrette, pour voir son beau cul aller et venir. La salope en glapit de plaisir mêlé de douleur, et se prend pour finir une belle giclée de semence chaude sur son ventre lisse.
Une vraie cochonne est rarement symétrique. Jay, la jeune et grande brune de cette scène, en est un bon exemple. Sa minceur n’est pas synonyme d’étroitesse aux endroits utiles, bien au contraire. La salope a une grande bouche, une chatte bien souple et un trou du cul qui raffole des gros calibres. Et elle va être servie. Voilà un premier partenaire qui approche, la pine au garde-à -vous, et notre ogresse s’empresse de se la fourrer dans la bouche et de pomper comme une gloutonne cet engin pourtant bien trop gros qui lui frappe la glotte. En voilà une deuxième qui se pointe et sans hésiter, Jay se dédouble et pompe les deux bites tour à tour puis ensemble. Mais ce qu’attend cette affamée de la queue, c’est de s’en prendre deux dans les orifices en simultané. Un bon sandwich avec un gourdin dans chaque trou et elle en glousse de joie, la chatte déchirée, le cul totalement défoncé. Le diamètre ne fait rien à l’affaire, quand on est salope, on est salope !
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